LAMPES NORD-JORDANIENNE -TYPE "PROTO-JERASH"
Ve - VIe s. ap. J.-C.
 
Lampes de forme ovoïde, au corps biconique et à la partie supérieure très bombée, entièrement décorée, et munies à l'arrière d'une petite anse en forme de spatule ou même, quelquefois, de forme presque conique. Ce groupe de lampes, défini par l'épithète de "North Jordan lamps", constitue une création des ateliers de la Décapole, peut-être même originaire des puissantes manufactures de Jérash. Plusieurs moules destinés à produire de telles lampes ont été découverts dans les comblements de la cavea de l'hippodrome de Gerasa, dont les partiés construites furent réutilisés à l'époque tardive pour toute sortes d'activités artisanales. Toujours à Jérash, des moules destinés à produire de telles lampes, ainsi que des lampes similaires, ont été exumés lors des fouilles de l'Eglise dite "de l'évêque Marianos",dans les vestiges d'un atelier de potier situé en face du temple de Zeus, ainsi que dans une zone résidentielle du decumanus méridional.
Géographiquement, les lampes de ce groupe n'ont connu qu'une expansion très limitée, puisqu'elles n'ont été répertoriées, hors de la Décapole, qu'à Jérusalem, à Beersheba et à Capharnaüm, pour ce dernier site en très petit nombre. Au sein même de leur zone natale, leur distribution quantitative semble très inégale : on n'en recense que deux à Bet Shean, elles ne constitueraient que 2% des lampes de la période tardive à Pella, tandis que les exemplaires de Jérash sont légion, de même que ceux inédits, de Beit Ras (Capitolias), qui exèdent la centaine d'individus. La seule fouille des thermes d'Hammat Gader, près de Gadara (Umm Qeis), à livré 43 exemplaires, issus d'un contexe daté du milieu du Ve siècle au VIe siècle ap. J.-C.
La datation du type reste à ce jour problématique. En règle générale, les spécialistes s'accordent pour lui attribuer une naissance au Ve siècle et une durée de production comprenant l'ensemble du VIe siècle, n'écartant pas, toutefois, une persistance comprenant les premières décennies du VIIe siècle.
Lampe syro-palestinienne - Loeschcke IV, variante locale - Ier - IIIe s. ap. J.-C.
Variante c
Variante b
Variante a
LAMPES "EN AMANDE" HOFF, TYPE ELGAVISH 58
Variante a, b, c
Datation entre fin VIe et début VIIe s. ap. J.-C. par Rosenthal et Sivan.
 
Type caractérisé par un réservoir en amande, peu profond ; un petit tenon en forme de bouton ou de pyramide tronquée ; un trou de remplissage de petite taille (sauf dans une série où il est très gros, série, un médaillon circulaire ou piriforme communiquant ou non par un canal avec le trou de mèche ; un large bandeau galbé souvent orné de motifs géométriques ; une base plate en amande. Terre ocre de nuances variées, engobée ou non. Hoff distingue quatre variantes : variante a, le disque est circulaire fermé ; variante b, le médaillon communique avec le bec par un canal placé au même niveau ; variante c, le canal est surélevé par rapport au niveau du médaillon ; variante d, le canal est sur-élevé mais le médaillon est occupé par un très grand trou de remplissage. Diffusion du type : principalement sur le littoral du Liban et au nord de la Palestine, quelques attestations à Chypre et en Cilicie. (Collection Rivel)
LAMPES TARDIVES PIRIFORMES A BEC POINTU DE SYRIE ET DE JORDANIE
Datation entre le Ve et la fin du VIe, voire au VIIe s. ap. J.-C.
 
Ce type de lampe est caractérisé par un réservoir en forme de goutte, à profil biconvexe, et à bec pointu intégré au réservoir de la lampe. La partie supérieure, bombée, comporte un large trou de remplissage entouré d'un bourrelet en reliet tandis qu'un haut bourrelet en V entoure·toute la partie supérieure du bec, elle aussi décorée. L'épaule, très convexe, est presque toujours décorée de rayons en relief et munie à l'arrière d'une petite anse conique verticale, tandis que la base, plate, est souvent ornée de motifs géométriques. Vraisemblablement né en Palestine, ce type connait un tel engouement qu'on le retrouve massivement produit  au Liban, dans la Décapole, à Palmyre, au Nord de la Syrie et même jusqu'en qu'en Mésopotamie.
Des exportations, voire des variantes locales, sont attestées dans tout l'Orient Méditerranéen, en Asie Mineure et jusqu'à Constantinople d'une part, en Egypte d'autre part. Une exception notoire semble être constituée par Chypre, où le vaste corpus réuni au Musée National ne comporte aucune lampe de ce type.
Si l'on en juge par les catalogues publiés, ces lampes sont bien attestées, quoiqu'en faible quantité, en Syrie méridionale, à Bosra ainsi que dans la Vallée de l'Oronte, à Hama, où certaines d'entre elles sont considérées comme des productions locales datées entre le milieu du VIe siècle et le second quart du VIIe siècle tandis qu'à Antioche, elles sont considérées comme «the VI century lamps par excellence». Dans la vallée de l'Euphrate, sur le site d'Anab Safina, ce type se taille la part du lion parmi les neuf formes recensées entre le Ve siècle et la période islamique, constituant environ 22% des exemplaires issues des fouilles de la Mission polonaise, datés entre le Ve et la fin du VIe, voire au VIIe siècle. (EX ORIENTE LUX)
LAMPES TOURNEES TARDIVES
Datation incertaine VIe - VIIIe s. ap. J.-C.
 
TYPE GICHON L 3a
Forme proche du type Kennedy 16. C'est la variante B distinguée par Rosenthal et Sivan, leur variante A (plus commune) qui correspond au type Kennedy 16. Le réservoir de forme globulaire dans sa partie inférieure se resserre pour se continuer par une partie cylin-drique. Celle-ci est fermée par un "couvercle" légèrement concave, percé du trou de remplissage et bordé par un étroit rebord convexe. Anse en ruban cannelé. Bec conique. Base plate.
LES LAMPES DE JERASH
VIe - VIIIe s. ap. J.-C.
 
Ce groupe constitue l'apogée, aussi bien dans l'innovation, la production et la diffusion des ateliers de la ville du même nom, au début du VIe siècle ap. J.-C.
Si ce type reprend, en grande partie, la forme  des lampes du  type  nord-jordanien (dit aussi «proto-Jerash») étudié supra, à savoir un réservoir au profil caréné, de forme ovoïde incluant le bec, à la partie supérieure bombée percée d'un large trou de remplissage entouré d'un bourrelet, il s'en distingue par u ne forme plus allongée et, surtout, par une anse recourbée, terminée en forme de tête zoomorphe.
Ce détail stylistique constitue peut-être l'élément clé pour comprendre le succès de ce type, produit en tout cas jusqu'à la période Abbasside et diffusé massivement dans toute la Décapole et au-delà. Plus encore, il a été souligné que la tête zoomorphe prononcée n'a pas suscité de rejet de la part du nouveau pouvoir musulman, survivant sans peine au changement politique entraîné par l'arrivée des Omeyyades,  mais surtout aux dynasties successives.
A Jerash, outre l'immense quantité de lampes de ce type mises au jour, plusieurs moules ont été découverts, dans les comblements de la cavea de l'hippodrome, lors des fouilles de la zone située en face du temple d'Artémis, de la zone de l'Eglise dite «de l'évêque Marianos» ainsi que d'une zone résidentielle du decumanus méridional.
Témoins de la production de lampes de ce type ailleurs qu'à Gerasa, deux parties d'autant de moules ont été découvertes à Bet Shean, ainsi qu'une trentaine de lampes ou fragments appartenant à  ce groupe,  mais dont  les  caractéristiques  indiqueraient des lampes importées de Jordanie. Ce qui est le plus intéressant à Bet Shean, c'est que seules 3 lampes ont été découvertes dans des contextes byzantins, tandis que les 28 autres proviennent de contextes omeyyades, ce qui montre bien que la diffusion du type, en tout cas vers l'Ouest et peut-être dans toute la Cisjordanie, s'est plutôt effectuée après la conquête musulmane.
Texte extrait de:
Lampes antiques de Méditerranée. La collection Rivel. Jean Bussière et Jean-Claude Rivel. Archeopress, Oxford - Lien
EX ORIENTE LUX - Des lampes phéniciennes aux lumières de l'Islam. Chefs-d'oeuvre de la Collection Bouvier
LES LAMPES ALLONGEES TARDIVES DE LA VALLEE DE L'ORONTE
Seconde moitié du Ve - VIe s. ap. J.-C.
 
Ce groupe de lampes, qui se distingue par un corps massif, piriforme et d'un large tenon rectangulaire ou circulaire souvent décoré, ou par une sorte de cône légèrement recourbé. Ce type à été massivement produit à Antioche entre le VIe et le VIIe siècle ap. J.C., il s'agirait d'une invention syrienne née d'une inspiration, puisée par les potiers de la région, dans les lampes africaines tardives, dont ils ont librement repris et adapté les principales caractéristiques : la morphologies générale, la présence du canal sur le bec, la forme du disque et le haut bourrelet entourant le disque, l'épaule et le canal du bec. La forme de l'anse ainsi que les motifs décorant le disque, en revanche, constituent autant d'éléments démontrant que ce type de lampes s'insère également dans la continuité des types syriens antérieurs et contemporains. Il a aussi été proposé, sans pour autant minimiser la présence de ces lampes à Antioche, d'envisager une production plutôt concentrée sur la zone d'Emèse (Hama) et des villes proches, après la publication d'un énorme corpus de lampes de cette forme issues de la nécropole de la citée. A Hama, ce type s'encadrerait chronologiquement dans une fourchette comprise entre 450 et 600 ap. J.-C.
Cette forme semble produite et diffusée majoritairement dans une zone bien délimitée, celle de la vallée de l'Oronte, en premier lieu la région comprise entre Emèse et Apamée ainsi que, vraisemblablement de façon moins massive, à Antioche, tandis que leur présence sur d'autres sites de la Syrie côtière, voire de la Vallée de l'Euphrate semble bien plus discrète. Elles sont néanmoins attestées aussi bien dans la zone d'Alep, de Gaziantep et d'Adana (à Misis et surtout sur le site de Dibsi Faraj, ou l'argile des luminaires de ce type correspondrait aux caractéristiques des ateliers d'Antioche) ainsi que, dans la vallée de l'Euphrate, sur les sites de Roumeila et d'Anab as-Safinah. A cela il faut rajouter les cinq lampes découvertes à Chypre et préservées au Musée National.
En ce qui concerne la chronologie de la production des luminaires de ce groupe, les fouilles les plus recentes, celles de la mission belges à Apamée, ont permis de découvrir pas moins de 434 lampes et 98 moules pour cette seule typologie, tous provenant d'un contexte d'abandon parfaitement daté puisque lié aux tremblements de terre qui ont ravagé la ville en 526 et en 528 ap. J.-C. Ce corpus et son contexte, même s'ils n'ont fait l'objet que d'une publication de synthèse, apportent ainsi, enfin, une chronologie précise de la production de ce type, auparavant datée avec largesse entre le milieu du Ve et le VIIe siècle. On peut ainsi estimer que le début de sa production se situe durant la seconde moitié du Ve, que son floruit a lieu durant le premier quart du VIe et que sa persistance ne dépasse probablement pas la fin de ce même siècle.
LAMPES PIRIFORMES TARDO-ANTIQUES DE SYRIE ET DU LIBAN
IVe - VIe s. ap. J.-C.
 
Les lampes ci-après appartiennent à un vaste groupe de lampes autrefois dites syro-palestiniennes tardives, aussi appelées lampes de transitions. Or, aucun des deux épithètes n'est réellement pertinent. Effectivement, bon nombre de ces lampes ont été exhumées dans les sites majeurs du Liban, de la Syrie côtière, de la vallée de l'Euphrate, du Sud Syrien et de la Décapole Jordanienne et, en moindre quantité, de Palestine. Mais tout autant de lampes proviennent des sites méditerranéens du Sud de l'Asie Mineure, sans compter une présence bien attestée d'importations ainsi que de productions locales dans d'autres région, comme Chypre ou la Cilicie, et enfin elles semblent avoir disparu bien avant la conquête musulmane.
Ce type de lampes est caractérisé par un réservoir piriforme, à profil biconvexe. La partie supérieur, plate, comporte un large trou de remplissage, souvent entouré d'un bourrelet en relief, tandis qu'un haut bourrelet en U entoure l'ensemble du disque et du bec allongé, souvent décoré d'un motif en très bas relief mais au rendu généralement très soigné. L'épaule, très convexe, est décorée de motifs géométriques en relief et munie à l'arrière d'une petite anse conique verticale, tandis que la base, plate et ronde, est presque toujours définie par un bourrelet circulaire. Une caractéristique supplémentaire concernant la base est la décoration quasi-systématique de son centre, en relief, comprenant des motifs simples, géométriques ou même zoomorphes.
Ces lampes, très nombreuses sur les sites de Syrie septentrionale et du Liban côtier, seraient une variante macro-régionale avant tout syrienne, avec des exportations et des réinterprétations comprenant un espace compris entre la Jordanie et l'Asie Mineure méridionale, y compris Chypre. Les modèles qui ont inspiré ces productions sont constitués par les types canoniques, dépourvus du canal du bec, produites en Terre Sainte et au Sud du Liban, ou ils semblent être à la fois produits et confirmés. En Syrie, ce type apparaît au IVe siècle et persiste, avec de nombreuses mutations stylistiques mineures, jusqu'au VIe siècle.
GRECQUES (145)
PLASTIQUES (6)
PRIMITIVES (109)
A CLASSER (225)
FAUSSES (57)
MUTI BECS (27)
EN VERRE (1)
EN METAL (18)
VOTIVES (189)
BYZANTINES (46)
LEVANTINES (80)
EGYPTIENNES (63)
ISLAMIQUES (69)
CHRETIENNES (255)
TRANSITIONS (201)
ROMAINES (820)
Lampe moulée d'Apamée - IVe - VIIe ap. J.-C. ?
Type proche de Kennedy 10, Hadad 16 - IVe - Ve s. ap. J.-C. (Hadad).
 
Le bec et l'anse font partie du corps ovale de la lampe ( bi-lanceolate lamp). Fort trou de remplissage cerné d'un bourrelet. Bassin peu profond. Le dessus de la lampe est décoré de motifs géométriques en léger relief, chevrons, losanges, lignes, cercles, motifs en V et globules. Argile chamois, couverte brun rouge. Base plate ou légèrement convexe et parfois cernée par un filet circulaire.
Datation : IVe-Ve s. ap. J.-C. (Hadad).
Type Kennedy 20, Hoff : "Lampes à anse et bec symétriques"
Type Kennedy 5, Hadad 7 - Seconde moitié du Ier - IIIe s. ap. J.-C.
 
Le type est caractérisé par un réservoir circulaire peu profond, sans anse, un bandeau souvent orné de doubles volutes placées horizontalement et de motifs de hache-double. Mais il peut avoir un décor d'oves, de triangles en relief ou de feuilles.
Son bec court et rond a la forme ovale Bus. 1 ou 10. Le décor du disque est très varié.
Le type est diffusé avant tout en Israël, Palestine et Syrie. Apparu à la seconde moitié du Ier s. ap. J.-C. il dure jusqu'à une période bien avancée dans le IIIe s.
Lampes nabatéennes - Ier - IIe s. ap. J.-C.
Type Kennedy 17 et 19, lampes au chandelier ou lampes pantoufles, hadad 28 - IVe - VIIIe s. ap. J.-C.
 
Type caractérisé par : un réservoir biconique profond sans anse ou tenon de préhension ; un dessus convexe orné de traits obliques en relief ou de lettres grecques ; un grand trou de remplissage cerné par un bourrelet circulaire ; une base annulaire. La pâte est brun clair, rose ou rouge. Une croix à branches évasées, ou une palme qui évoque le chandelier juif à sept branches, a donné une de ces deux appellations à ce type de lampes. Le motif qui figure sur le haut du bec est relié à un bourrelet qui entoure le trou de remplissage. Les inscriptions en caractères grecs, sont des variations de l'eulogie "La lumière du Christ brille pour tous"
 
La diffusion du type est limitée à la Palestine. Rosenthal et Sivan distinguent deux groupes dans le type : les lampes de petite taille, datées des IVe et Ve s. et celles de grande taille ou les inscriptions sont fréquentes, datées aux Ve et VIe s. Toutefois le deuxième groupe perdure jusqu'aux premières décennies du VIIIe s. en période islamique voir par exemple Pappalardo 2008, 563, et 565, fig. 2
Type Elgavish 4, Hadad 6 - Ier s. av. J.-C. - Ier s. ap. J.-C.
 
Ce type palestinien au bec triangulaire, le plus souvent à volutes, est contemporain du type italique Loeschcke I.
Oziol le considère comme un type de transition entre les lampes hellénistiques dont il a la facture soignée et le style du décor très fouillé et les lampes romaines. Les deux côtés du bec sont biseautés. La surface plane est limitée par deux courbes qui se terminent vers le disque en deux volutes bouclées. Ces volutes simples, de faible relief, ne sont pas matérialisées sur les côtés du bec vus de profil. Elles encadrent un petit canthare, ou un motif végétal, fleur, feuilles ou rosette. Au revers du bec on observe parfois deux courbes incisées. Le bandeau est orné d'une couronne végétale, feuilles de laurier, grappes, fruits divers. Le disque de petite dimension est cerné par un double bourrelet circulaire. Anse ronde, pleine et verticale. Base délimitée par un anneau fin.
Datation fin Ier s. av. - Ier s. ap. J.-C.
Type Kennedy 3, Hadad 4, Lampes Hérodiennes - Ier s. av. J.-C. - IIe s. ap. J.-C.
 
La caractéristique du type est un réservoir circulaire tourné, un grand trou de remplissage cerné d'un bourrelet, un bec rapporté, spatulé, à l'extrémité en bras d'ancre. Traces d'ébarbage sur les côtés du bec et du réservoir. On distingue deux variantes : la première, la plus abondante, groupe des lampes sans anse ni décor ; la seconde, des lampes avec ou sans anse, montrant des motifs incisés sur le bec. Quelques lampes ont un bandeau orné de lignes ondulantes. Les lampes à plusieurs becs ou montées sur un manchon sont rares.
Datation : on a longtemps considéré que le type était apparu avec le début du règne d'Hérode. Mais son absence à Jérusalem, dans des fouilles récentes de contextes datant de cette période indique peut-être que le type n'apparut que vers la fin du règne d'Hérode. Il prend fin vers le milieu du IIe s ap. J.-C. Production locale, le type eut une distribution géographique limitée. Commun en Judée il est plus rare au nord de la Palestine et en Transjordanie
LAMPES A HUILE LEVANTINES OU SYRO-PALESTINIENNES
 
Par ce terme, on entend l'ensemble de la côte du Levant jusqu'à l'Euphrate, Syrie, Liban, Israël-Palestine, Jordanie, Sinaï,
pour l'époque ancienne où les États actuels n'existaient pas.
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